Bruxelles, 29.11.2013
Marcel Vervloesem est apparu lundi dernier sur le programme d’une radio-web néerlandaise pour y donner une entrevue.
Peu avant cet entretien, la présentratrice néerlandaise avait interviewé un détracteur de Marcel, le Néerlandais Jos Aalders, qui est un chasseur de pédophiles et un ‘ombudsman’ pour enfants auto-nommé.
M. Aalders jugeait pendant cet entretien que Marcel Vervloesem était coupable de l’abus sur son neveu mineur, prétendu abus qui a été la cause de sa nouvelle condamnation la semaine dernière par la cour pénale de Turnhout. Aalders prétendait que Marcel était lui-même un pédophile qui ne cherchait par son travail que de faciliter l’assouvissement de ses désirs criminels.
C’est le monde à l’envers, puisqu’il paraît que cette accusation s’appliquerait plutôt à monsieur Aalders lui-même, qui est bien lui un ‘chasseur de pédophiles auto-nommé’, c’est à dire quelqu’un dont les méthodes diffèrent radicalement de celles utilisées par Marcel et ses collègues. Ce qui plus est, cette accusation s’accorde bien également avec les méthodes utilisées par la Justice et la presse belges. Ainsi Marcel a déjà été condamné en 2008 pour le même genre de faits, et par la même méthode, c’est à dire en fabriquant un cas monté par le biais de petits criminels liés au demi-frère de Marcel qui lui-même est un pédophile connu. Ce dernier a acquis une place dans la politique locale du village où Marcel habite, et cela lui permet de salir le nom de son demi-frère et de soudoyer des jeunes brigands pour aller porter des fausses plaintes pour abus sexuel soi-disant commis par Marcel sur eux. Les média relatent ensuite fidèlement les calomnies odieuses et se limitent à publier les nouvelles sur les condamnations de Marcel qui en résultent et en le portraitant comme un ‘çhasseur de pédophiles autonommé’ ‘qui est lui-même un pédophile prouvé’. Ils n’ont même pas l’obligation de donner à Marcel son ‘droit de réponse’, puisque l’interdiction de parler à la presse qui lui a été imposés par la Justice belges les en dispense. C’est vraiment donc un complot assez bétonné.
Cette campagne de calomnies et de harcèlement par les média et la Justice concertée dure déjà depuis la fin des années 90, quand Marcel et son asbl Morkhoven ont dévoilé l’existence de réseaux de pédocriminels et de pédopornographie, au cour de leurs recherches dans la traînée de l’affaire Dutroux. C’est grace à ce travail que a été découvert le scandale pédopornographique de Zandvoort, ce qui est une des preuves de la véracité des témoignages des témoins dits ‘témoins X’ dans l’affaire Dutroux-bis qui parlaient exactement de l’existence de pareils réseaux qui utilisent même les enfants qu’ils enlèvent pour des séances où il sont filmés pendant leur mise à mort d’une façon ‘rituelle’ et barbare dans des soi-disant ‘snuff-movies’ qui se vendent au prix de l’or. Ç’avaient été ces témoins-là qui ont été les premières à être déservies et condamnées, tant par la presse publique comme par la Justice, comme des ‘fantastes’ et des ‘folles’ (notamment dans le cas le plus connu, celui de Régina Louf). Pourtant le cas des manipulations des documents de l’autopsie de deux des jeunes victimes dans l’affaire Dutroux, Julie et Mélissa, confirme l’existence de ces pratiques-là.
Et c’est exactement pour la même raison que dans le cas de ces témoins-là, que la Justice et les média, dirigées par la classe politique et les milieus haut-placés, pour commencer en Belgique (mais également aux Pays-Bas, où ce trouve la ville de Zandvoort où l’asbl Morkhoven a réussi fin des années 90 à retrouver les CD-ROM qui prouvent l’étendu du scandal), ont débuté la campagne de diffamation et de sabotage contre Marcel et le Groupe Morkhoven: pour éfouffer ce scandal aux dimensions internationales (concernant presque 90.000 cas d’enfants -nombre confirmé par la police fédérale belge- abusés et utilisés pour l’industrie pédopornographique et assassine d’enfants parfois).
Dans le cadre de cette campagne pour neutraliser le travail de Marcel et du Groupe Morkhoven, il est déjà en 2006 devenu la victime d’une interdiction de la part de la Justice belge de parler avec les média et la presse, et de contacter les autres membres du Groupe, – et depuis lors il n’avait pas non plus le droit de participer aux travaux d’associations pour la lutte contre les abus d’enfants, ni de voyager à l’étranger pour y participer à des conférences sur le sujet.
Ces mesures restrictives étaient jusqu’au procès de la semaine dernière toujours en vigueur.
En 2008 il fut condamné à quatre ans de prison ferme par suite de cette campagne de sabotage et de fausses accusations, c’est à dire sur la fausse accusation d’abus sur mineurs fabriquée par le mileu de son demi-frère. Il fut écroué dans la prison de Bruges puis de Turnhout, où il reçut un très mauvais traitement, consistant en toutes sortes de petitis harcèlements, tandis qu’il ne recevait aucun traitement adéquat pour les quatre maladies qui menaçaient sa vie durant toute la période de son incarcération.
L’avant dernière apogée de la campagne de sabotage contre le travail de Marcel et son équippe s’était déroulée l’année dernière, quand le milieu de son demi-frère c’est acharnée à une véritable campagne de terreur contre la fille et la petite-fille de Marcel, les menaçant de mort dans des messages SMS et les harcelant pendant des mois de suite. La Justice belge a préféré pourtant d’ignorer les preuves incontournables de ces délits.
Entre-temps Marcel et son groupe continuaient leur travail sans se laisser décourager par toutes ces contrariétés, allant plus en avant dans leurs recherches sur l’affaire Zandvoort. Ce qui aboutit à la fin de l’année dernière à un grand succès: en effet, Marcel et ses collègues avaitent réussi à casser le code d’accès au portions des CD ROM de Zandvoort où se trouvaient tous les noms des clients de ce réseaux pédopornograpique internationaux. Cela a permis à Marcel et ses collègues de mener des actions pour retrouver nombre d’enfants disparus et victimes de ces réseaux dans divers pays, avec la collaboration des services de police des pays concernés. Entre autre en Allemagne, Pologne, en France et au Canada. Dans ces actions, des bordels pour mineurs et des studios pédopornographiques se trouvant à Amsterdam et à Rotterdam aux Pays-Bas, ont joué le rôle de pistes permettant de retracer les enfants victimes, comme après leur enlèvement ils étaient passés par là pour être ensuite vendus dans d’autres pays.
Nasus Ovidius
Suite de ce texte: Marcel Vervloesem - L'affaire Zandvoort (2)
http://verdwijningen.skynetblogs.be/archive/2013/11/29/marcel-vervloesem-l-affaire-zandvoort-2-8000980.html