28 Avril 2014
Marcel Vervloesem, le militant de l'association belge 'Werkgroep Morkhoven' qui a été persécuté et stigmatisé pendant une 15 zaine années par les authorités belges qui voulaient étouffer sur ce façon l'affaire pédopornographie de Zandvoort, est hospitalisé à nouveau.
Vervloesem qui est très malade et qu'on a refusé ses médicaments en prison, a eu un cancer, a des problèmes très graves au cœur et aux reins. Il a aussi le diabète et nécessite beaucoup de médicaments.
Il y a quelques jours qu'il ne se sentait pas bien à sa maison. patient se sent pas bien. Puis il est tombé au sol , il a attrapé une casserole d'eau bouillante qui était sur la cuisinière à gaz. Sa jambe gauche a été brûlé au troisième degré et les spécialistes pensent à une intervention chirurgicale.
Il souffre beaucoup et l'accident est une grave problème pour son cœur (une intervention chirurgicale à son cœur n'est plus possible parce que les risques sont trop grands).
Ce qui a sans doute joué un rôle dans la dégradation de l'état de santé de Vervloesem est le fait qu'il y a environ deux ans, que la justice belge a poursuivi Vervloesem à nouveau à cause «d'abus sexuel». La 'preuve' de cette nouvelle accusation était une histoire imaginaire de son neveu Dimitri qui, comme d'habitude, était publiée dans le journal 'Het Nieuwsblad'.
Il est à noter que ce Dimitri a de bons contacts avec Victor V., le demi-frère de Vervloesem. Celui-ci et quelques des ses amis homosexuels, accusait Vervloesem «d'abus sexuels» il y a 15 ans. Les accusations étaient fondées sur des soi-disant faits qui auraient eu lieu au passé. Ces histoires étaient aussi publiées par certains journalistes du journal 'Het Nieuwsblad' qui ont de bonnes relations avec le pouvoir judiciaire.
C'était juste au moment que la presse internationale, y compris les trois journaux principaux japonais, venait au village Morkhoven pour interviewer Vervloesem autour sa découverte de l'affaire Zandvoort qui, selon un rapport de la police fédérale belge, comptait 88.539 enfants maltraités et sexuellement abusés.
Comme précédemment avait été le cas, les juges de Turnhout qui ont étouffés l'affaire pédopornographique de Zandvoort, ne considèrent pas les déclarations justificatives qui démontraient l'innocence de Vervloesem dans le cas de Dimitri.
Les juges de Turnhout sont aussi restés observateur passifs, au moment que ce nommé Dimitri, avec l'aide de Victor V., a commencé à terroriser la fille et la petite-fille de 15 ans de Vervloesem. Grâce au silence des juges, la terreur, a duré plusieurs mois.
Les blogs de l'association Werkgroep Morkhoven étaient également fermés pendant des plusieurs mois pour empêcher qu'on rapporterait de ce scandale judiciaire qui est connecté à l'étouffement de l'affaire Zandvoort.
La fille et les amis de Vervloesem avaient dénoncé à plusieurs reprises à la police de la ville d'Herentals et de Turnhout. Les plaintes été accompagnés par les preuves nécessaires.
Victor V. et le nommé Dimitri n'ont jamais été poursuivi pour ces actes terroristes. Le Comité P, un organe parlementaire doit vérifier le comportement de la police, écrivait récemment qu'elle effectuer at aucune enquête 'parce que le ministre de l'Intérieur Joëlle Milquet (cdH, démocrates-chrétiens) avait déjà contacté le procureur de la justice de Turnhout'. De cette façon, l'affaire est à nouveau étouffée et nous nous retrouvons dans un cercle vicieux.
Le Ministre de la Justice belge Annemie Turtelboom (Open VLD, Parti Libérale) laissait répondre par un employé de son cabinet 'qu'elle ne peut rien faire en raison du principe de la séparation des pouvoirs', tandis qu'elle a nommé le procureur Jan Poels de la Justice de Turnhout comme chef de son cabinet. L' étouffemment de l'affaire Zandvoort et les actes terroristes sont donc le résultat de la corruption politique et judiciaire.
L'enquête dans l'affaire Zandvoort et les poursuites des petits criminels qui peuvent terroriser la des citoyens innocents et la famille de l'activiste Marcel Vervloesem, sont donc complètement bloqués par les autorités belges corrompus.
Le tribunal de Turnhout va certainement continuer à utiliser toutes sortes de petits criminels qu'ils peuvent utiliser à détruire la santé de Vervloesem.
Ce qui est très grave dans cette affaire est le fait qu'il y a 30 procès-verbaux de Victor V. concernant des infractions sexuelles sur des petits garçons. Ils ne sont jamais enquêtés tandis que chaque accusation de Vervloesem est suivi par une poursuite et une persécution dans les médias belges qui soutenont la corruption et ne parlent jamais de l'affaire Zandvoort.
Victor V. qui peut à peine écrire est inconditionnellement soutenu par le maire de Herentals Jan Peeters, qui est comme lui, un membre de la direction du parti socialiste flamande.
Jan Peeters, à son tour, est aussi un membre du Parlement du parti socialiste.
Dans les années 90, il était le secrétaire d'État et le ministre de la Sécurité. Premier Di Rupo qui est un gay prononcée était Vice-Premier dans ce temps.
Victor V. est devenu conseiller municipal. Il a été nommé comme: membre de la direction de 'Geelse Huisvesting' (logements sociaux), membre de la direction du centre public d'aide sociale, président du Comité pour la sécurité et la police d'Herentals et membre de la direction du Conseil de la police locale dont Peeters est le président. Il représente la ville d'Herentals dans 2 deux intercommunales.
Durant les mois que la petite-fille et la fille (qui a 2 autres petits enfants) de Vervloesem étaient terrorisés, on utilisait un scanner de la police. Il y a des témoins qui ont vu ce scanner dans la voiture de Victor V. qui était stationné près de la maison de la famille Vervloesem. Dans la voiture se trouvait Victor V. et certains membres du gang...